Mon amie Hélène
À la mémoire d’une mère.
Il y a des êtres dont la perte nous emporte comme un raz de marée, nous frappe comme un tsunami et nous entraîne dans un gouffre de tristesse.
Pour chaque être aimé qui nous est enlevé, nous y perdons un peu de nous-mêmes.
Les seules consolations que nous avons, c’est de garder vivante cette personne aimée dans notre cœur et dans tout notre être.
C’est de savoir qu’elle repose paisiblement pour l’éternité.
Cette sérénité qui nous renforce et nous donne le courage de cette traversée du désert.
À notre table, une chaise se vide, absence prolongée …
Mais dans notre cœur, cette flamme d’amour ne s’éteindra qu’avec nous-mêmes.
Avec toutes mes sympathies pour toi Hélène et tes proches.