Francyne Goyer
J’offre mes sympathies aux proches de Francyne. Je garde un beau souvenir de Francyne que j’ai connue à l’Université de Montréal, alors qu’elle était professeure à l’école de criminologie. Je l’ai retrouvée, il y a 5 ans devant sa belle maison de la rue Chester à quelques rues de chez moi. Depuis je la voyais régulièrement et je peux dire que tout son voisinage appréciait sa présence et son amour pour les chiens. Vos prénoms m’étaient familiers car elle me parlait souvent de vous. Lise Mongrain