Centre d'accueil Marcelle-Ferron
Claire, tu n’as jamais permis à la maladie de te cloîtrer. Tu as nargué ton mal jusqu’à la fin.
Tu t’es gavée de livres et de musique, de rires et de sourires que tu distribuais à la tonne, quotidiennement. Admirable Claire, tu étais la dose quotidienne de fantaisie et de légèreté de ceux qui t’entouraient : tu n’as jamais réprimé ta douce folie ni la prodigieuse liberté de ton esprit.
Tu me manqueras, mais tu pourras enfin aller danser.