à la Famille de Fernande Brillon
À la Famille de Fernande Brillon, mes sympathies.
Je n’ai pas connu madame Brillon, sinon à travers son fils Denis.
Je suis une ancienne compagne de travail de Denis, et il m’a parfois parlé d’elle.
Ce n’est pas tant ce qu’il a pu me dire d’elle dont je me souviens, que la manière dont il me parlait. Pour Denis, vous savez que les relations humaines sont primordiales (le contraire serait dangereusement étonnant pour un psy. !). J’ai entendu, dans ses paroles, à quel point une maman c’est important. Cette relation privilégiée forge notre être, fonde notre personnalité et oriente grandement notre vie.
On apprend d’une mère comment vivre, comment aimer, à sa manière, ou par choix, au contraire de sa manière, peu importe. C’est ce que notre mère a été pour nous qui fait en partie ce que nous sommes.
Alors ici je veux remercier ce que madame Brillon a été pour ses proches, famille et amis. À vous tous, elle a apporté quelque chose d’elle-même. Son regard s’est posé sur vous.
Avec vous de tout cœur, particulièrement avec toi Denis, cher ancien collègue et ami, et avec France.
Ginette Lamarche